Fellag

Tous les Algériens sont des mécaniciens

Coup de Cœur Panache Diffusion
Disponible uniquement pour la Belgique, le Luxembourg et la Suisse

Un bidonville dans la périphérie d’Alger, une terrasse ensoleillée, du linge qui prend l’air en attendant l’arrivée de la manne hydraulique, des antennes paraboliques, une trottinette, une douche au compte-gouttes, un atelier de mécanique et un couple qui devise sur l’état général du pays.

Salim et Shéhérazade nous racontent leur histoire, celles de leurs voisins et nous livrent de façon drolatique, absurde ou émouvante les difficultés de leur vie quotidienne. Ce couple, heureux, malgré sa mise à la marge forcée, s’amuse à « philosopher » sur les mœurs d’une société qu’on découvre étrangement semblable à beaucoup d’autres. Leurs propos tendres, acerbes, ironiques, nous révèlent la palette de l’humour salvateur que les Algériens comme tous les humains qui ne se prennent pas au sérieux pratiquent avec délice et sans retenue.


Genre : Comédie dramatique, Théâtre
Auteur : Fellag
Distribution : Fellag, Marianne Epin
Production : Volubile Productions
Remerciements à Olivier Poubelle et Astérios Productions ainsi qu’à Dominique Delorme, directeur des Nuits de Fourvières
Mise en scène : Fellag, Marianne Epin
Costumes : Pascale Bordet assistée de Caroline Martel
Photographe : Philippe Delacroix
Durée : 90


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Lu dans la presse

Avec cette aisance des grands conteurs, il nous offre un grand numéro d’orfèvre sur la relation entre les Algériens et la voiture. (…) d’anectodes en réflexions, ils dressent un portrait très coloré d’une Algérie qui sait faire face avec humour aux duretés du quotidien. C’est hilarant. Un conseil ne trainez pas trop, ça va vite se jouer à guichet fermé. Pariscope

Ce conteur-né à trouvé, avec Marianne Epin, une piquante partenaire. Télérama

Léger, moqueur, vif et dansant, pas revanchard, toujours lucide, glissant, mine de rien, du réel au fantastique, Fellag, sans hausser le ton, nous dit de brèves histoires si justes, si simples en leur drôlerie, qu’on en rit sans jamais oublier la gravité secrète qui s’y cache. Le Figaro, Pierre Marcabru

Ce n’est pas en vain que Fellag, petit, imitait pour ses copains les films de Charlot. Il n’en a pas seulement retenu une gestuelle, mais une façon de ralentir ou d’accélérer qui s’oppose toujours à l’ordre établi, et un sens du rythme où les mots semblent le prolongement naturel des gestes. Libération, René Solis

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