J’ai des doutes
François Morel – Raymond Devos, Raymond Devos – François Morel, et la boucle est blouclée à double tour…
François Morel – Raymond Devos, Raymond Devos – François Morel, et la boucle est blouclée à double tour…
Dans cette pièces à sketches, nous découvrons, au fil de discussions plus ou moins animées, le quotidien et une certaine intimité de couples, dans toutes leurs déclinaisons. Fallait pas le dire, c’est le leitmotiv dans le discours, la rengaine qui ressurgit quels que soient les sujets évoqués : les repas de famille, le rapport à l’argent, la chirurgie esthétique, la politique, l’historique de l’iPad ou encore la trottinette, le voile, la mauvaise foi… tout y passe avec la question fondamentale de savoir s’il fallait ou non s’exprimer sur le sujet et si oui, de quelle manière.
Né au siècle dernier, Ferdinand Cheval, surnommé « Le facteur Cheval » a passé plus de trente ans de sa vie à construire une sorte de palais extraordinaire, tout seul, avec ses petites mains, ses outils et sa brouette. La plupart des gens le qualifient encore de fou aujourd’hui.
Mais c’était un fou génial !
N’est on pas censé devenir, un jour, le parent de nos parents ? André n’est plus tout jeune. C’est ce qui pousse Anne, sa fille, à lui proposer de s’installer dans l’appartement qu’elle occupe avec son mari. Elle croit ainsi pouvoir aider ce père qu’elle a tant aimé et qui la fait toujours rire.
Nicolas a 17 ans. C’est pas facile. Il est fils de parents séparés et sa mère, dépassée par sa détresse, demande au père d’intervenir. Nicolas part donc habiter chez son père, remarié et papa d’un nouveau-né.
Serge est un esthète amoureux d’art moderne qui vient d’acquérir un nouveau tableau blanc avec des liserés blancs. Marc est celui à qui on ne la ait pas et qui ne se laisse par embrouille par la mode. Yvan a échoué dans la vie professionnelle et semble n’avoir que ces deux amis précieux. Ce trio va s’entre déchirer autour de ce tableau blanc en invoquant tous les arguments qui tournent autour de l’Art moderne…
A mi-chemin entre le théâtre et le mime, Elliot Jenicot ne ressemble à personne. Créé avec la complicité de Laurence Fabre, le spectacle revisite les textes de Raymond Devos.
« C’est l’histoire d’un homme pas fini, inachevé, comme une symphonie ».
Londres, début des années 70.
Le dramaturge Alan Bennett s’installe dans le coquet quartier de Camden Town. C’est là qu’il voit débarquer une vieille dame en guenilles, qui semble habiter dans sa camionnette. Miss Shepherd demande à Bennett si elle peut garer son « van » dans sa courette, devant sa maison. Bennett, trop poli pour refuser, acquiesce, croyant que cela va durer deux ou trois semaines… L’occupation des lieux va durer quinze ans.
C’est l’été au Danemark et l’occasion de fêter les 60 ans d’Helge Klingenfelt. Amis et famille sont tous conviés, sans s’attendre à assister à la révélation de terribles secrets…
Deux personnages, « Moi » et le Neveu. Ce personnage se dédouble sans cesse pour une conversation sans fin. Le neveu pose des questions importantes et soudain, pour notre amusement, l’argumentation déraille…