À VOIR PROCHAINEMENT
Représentations en plein air cet été :
La Ferme de Martinrou
vendredi 7 et samedi 8 juillet à 19h00
dimanche 9 juillet à 17h30
Château de Bioul
vendredi 14, samedi 15 & dimanche 16 juillet à 19h30
La Ferme de l’Hosté
vendredi 11 et samedi 12 août à 19h00
dimanche 13 août à 17h30
Abbaye de Villers
vendredi 18 et samedi 19 août à 19h00
dimanche 20 août à 17h30
La Ferme de Lansrode
vendredi 25 et samedi 26 août à 19h00
dimanche 27 août à 17h30
Tous les détails seront mis en ligne très bientôt !
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Présentation du spectacle
Adaptation théâtrale du roman de Nadine Monfils « Le rêve d’un fou » – fiction d’après la vie du facteur Cheval – paru en 2019 chez Fleuve Editions.
Né au siècle dernier, Ferdinand Cheval, surnommé « Le facteur Cheval » a passé plus de trente ans de sa vie à construire une sorte de palais extraordinaire, tout seul, avec ses petites mains, ses outils et sa brouette. La plupart des gens le qualifient encore de fou aujourd’hui.
Mais c’était un fou génial ! Oscar Wilde a écrit que : « Les folies sont les seules choses qu’on ne regrette jamais ».
Chacun sur cette terre a sa part de bonheur et de malheur. Certains trinquent plus que d’autres. Et le facteur Cheval ne sera pas épargné par les ronces de la vie.
Ferdinand Cheval, fou de chagrin, aura pourtant la force de construire un palais inouï, né d’un songe. C’est sans doute ça qui lui a maintenu la tête hors de l’eau. La passion, quelle qu’elle soit, nous sauve de tout.
« C’est l’histoire d’un homme qui ne savait pas dire je t’aime… et qui l’a dit avec des pierres. »
Il a construit un Palais qui est la plus belle lettre d’amour que l’on puisse faire à son enfant. Parce que les mots, sculptés dans le silence de la nuit sont les plus puissants.
On le disait fou. Il ne l’était pas. C’est le monde qui l’est.
Un monde qui n’a rien appris de l’histoire et de ses horreurs, et qui continue à ignorer ou pire, à éliminer ceux qui ne marchent pas dans les rangs.
Vive la folie créatrice, vive la différence et vive la liberté !
Ce Palais est un hymne à l’Amour, et la preuve qu’on peut réaliser ses rêves, même les plus fous. »
Nadine Monfils
Galerie photos
Teaser
EN TOURNÉE – SAISON 2023-2024
Le spectacle sera disponible du 15 juin au 29 octobre 2023, pour des représentations tant à l’extérieur (en lumière de jour de préférence) qu’à l’intérieur.
Télécharger la fiche technique
Une captation complète du spectacle est également disponible sur demande.
Pour toute information, envoyez un email à Kim Tran
Genre : Récit initiatique
Auteur : d’après le roman de Nadine Monfils « Le rêve d’un fou » – fiction d’après la vie du facteur Cheval – paru en 2019 chez Fleuve Editions
Distribution : Elliot Jenicot, accompagné du plasticien Philippe Doutrelepont
Mise en scène : Alain Leempoel
Assistante à la mise en scène : Mathilde Pigeolet
Scénographie : Noémie Vanheste
Costumes : Virginie Delvaux de Fenffe
Voix off : Mathilde Pigeolet et Luc Van Grunderbeeck
Photos : Philippe Hanula, Kim Tran et Corinne Vidrequin
Illustration : CharlElie Couture, « Seul au Monde »
Production : Panache Diffusion sprl
Durée : 85 mn
Régie en tournée : Thierry Mukala
DOSSIER DE PRESSE
Pour télécharger le dossier de presse du spectacle, merci de renseigner le formulaire ci-dessous :
Saisons
Création en plein air au Festival d’Avignon dans le jardin du Théâtre des Halles le 9 juillet 2022 à 11h00.
2023-2024
Spectacle disponible pour des représentations tant à l’extérieur qu’à l’intérieur du 15 juin au 29 octobre 2023.
Dates et tarifs sur demande
En plein air :
07.07 > 09.07.23 La Ferme de Martinrou
14.07 > 16.07.23 Château de Bioul
11.08 > 13.08.23 La Ferme de l’Hosté
18.08 > 20.08.23 Abbaye de Villers
25.08 > 27.08.23 La Ferme de Lansrode
2021-2022
Création en plein air
– en France, au Festival d’Avignon dans le jardin du Théâtre des Halles du 9 au 30 juillet 2022 à 11h00 (relâches les 13, 20 et 27 juillet)
– en Belgique : au Château de l’Ermitage à Wavre du 2 à 5 août 2022 à 18h30 & au Festival Bruxellons! 14 août 2022 à 20h45
En savoir plus
Lu dans la presse
CRITIQUES À LA CRÉATION
Elliot Jenicot, magistral Facteur Cheval
Vaucluse matin Marie-Félicia Alibert – 11.07.22
Sous le soleil brûlant, entouré du chant des grillons et des oiseaux mais aussi des cris d’enfants du quartier, du brouhaha de discussions voisines, des bruits de la rue, le comédien mouille littéralement la chemise et nous tient en haleine d’un bout à l’autre, se glissant dans la peau d’un Ferdinand Cheval au parcours chaotique et douloureux. (…) Dans son costume de facteur du XIXè siècle, le visage dévoré par une barbe de quelques jours, il est Ferdinand Cheval et se lance dans le récit de sa vie. Une heure et demie plus tard, le public l’applaudit longuement au sortir d’une performance peu commune.
Le Soir Jean-Marie Wynants – 18.07.22
Le facteur Cheval dans la peau, Elliot Jenicot revient d’Avignon pour jouer à Wavre
L’Avenir.net – 29.07.22
Elliot Jenicot est véritablement Ferdinand Cheval, dans son physique rugueux, sa voix caillouteuse, son parler sans fioritures, ses maladresses touchantes… Une impressionnante performance à l’image de son personnage.
Le Soir
La pièce rend un vibrant hommage à la légende du Facteur Cheval et à tous ceux qui cherchent, malgré tous les obstacles, à atteindre leur «inaccessible étoile».
Vaucluse Matin
Dans le jardin du Théâtre des Halles, c’est une performance d’acteur qui se bâtit.
La Provence – Sortir
Le comédien Elliot Jenicot éblouit tant il a su se glisser dans la peau de cet homme hors normes qui travailla 33 ans à la construction de son idéal.
Bruit du Off
Une histoire vraie où la fiction se mêle par touches délicates entre tragédie et beauté, un mélange qui paraît si réel et où l’émotion est toujours palpable.
RegArts
Une pièce importante, intéressante, bien écrite et formidablement jouée.
Théâtre Passion
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Quelques mots d’Alain Leempoel, metteur en scène
Comment ne pas tomber amoureux de cette histoire vraie, teintée de fiction baignant dans l’univers atypique de Nadine Monfils. Elle nous embarque dans la brouette du Facteur Cheval, emplie d’abnégation, de passion, de rêve, bref de tout ce qui construit un homme qui tente de rester debout face à l’âpreté de la vie.
Ce récit se devait de trouver une version scénique parce que, outre la beauté du texte, la personnalité du facteur cheval mérite d’être incarnée, pour sa force, sa folie, son génie.
La scénographie tentera de restituer ce parcours ensoleillé et rustique.
C’est pourquoi, l’idée de base n’est pas que cette histoire soit représentée dans un lieu théâtral traditionnel mais d’investir un espace inattendu, et de l’utiliser comme décor naturel afin de plonger le spectateur au coeur de cette époque et de cet univers campagnard.
Une grange, une étable, une bergerie, une écurie, une ferme, une cour intérieure de lieu porteur d’histoire…
Comme le Facteur Cheval, nous avons nous-aussi notre quête ; un lieu qui magnifiera le texte, le théâtre et ce personnage singulier, d’une humanité salutaire.
Aujourd’hui, plus que jamais, nous avons besoin d’espoir et Ferdinand Cheval nous montre qu’un rêve, quel qu’il soit, nous aide à traverser les pires orages.
Aux côtés du comédien, un plasticien évoluera dans l’espace tel son double, son partenaire, son image et travaillera tout au long du récit, les matières utilisées dans l’évolution du Palais Idéal : la chaux, la pierre, la terre, le bois etc… A la fois pour illustrer l’âpreté du travail mais aussi la beauté de la création.